Les quadrilatères
quadrillent la Terre
des coupes claires
dans les prés verts
au son des corbeaux
alignées au cordeau
sans un mot plus haut
elles se dressent
des maisons des tombeaux
dans de tout petits lots
ils se pressent
alignés mutilés
derrière les jardins mi-clos
on s’enterre encore verte
les yeux fermés
les plaies ouvertes
le cœur fendu
et la tête au carré.