La solitude des grands ensembles
l’hébétude des masses pensantes
l’absurdité des petits riens
la surdité des crieurs vains
les pleurs sans larmes des foules en joie
les cœurs qui battent des vies sans voies
les cris sans mots des écrivains
les mauts perçant un monde sans foi
les tubes s’enchaînent et se ressemblent
les chaînes sans poids se ressentent
les fleurs se fanent dès le matin.