ce poeme est bien mais je voudrais plus explication pour le comprendre car j ai une etudes de texte et je voudrais bien avoir des renseignements . mais ce poeme est bien construit .il montre que chaque seconde est tres importante........etc
si l’aube existe c’est d’abord une aube personnelle, il n’y a pas de chant possible sans la petite musique au fond de soi, tout au fond, au milieu du cri de peur, trouver sa note juste. Je ne sais pas chanter. Marcher seulement. Trouver son chemin. Je cherche parfois, et parfois je m’enroule dans ma routine et je m’endors. Après le noir la lumière ? Pas si sûr et pas si sûr d’ailleurs que le noir soit si noir que cela. Le plus dommage c’est de nous avoir fait croire que la vie était cela, cette absence de soi, cette solitude de l’autre. Je sens de plus en plus en cherchant le sens de ma vie, que si la vie humaine a un sens, et peut-être la vie en général, ce sens passe forcément par les autres, j’en viens à me demander si on n’est pas justement les autres (image de l’essaim) et je ne sais pas. Mais en posant cette question du sens, je découvre doucement une richesse, une exubérance, un mouvement, une mélodie, quelque chose tourne rond et bon dans le monde, au moins de la nature, mais pour moi, l’infime parcelle de ce tout illusoire, moi, comment me résoudre à ma petitesse et à mon éphémérité ? Dans l’union sans doute. L’amour qui nous augmenterait de l’autre en le rendant plus complet, en nous complétant aussi. L’amour de l’autre ou la conscience du monde ? Il y a le noir, mais qu’est-ce que c’est ? Une perception, une émotion, une illusion, une image ? Si nous pouvions laisser le noir en plan avec les autres couleurs, et le reste, il resterait quoi ? Soi peut-être, comme un début de nous. Oui, sans doutes, alors l’aube existera dans ton coeur, pour d’autres coeurs.
Je pense que les humains sont grégaires et devraient communier, fraterniser, mais pas au point de se fondre dans un essaim, il faut toujours garder et développer sa personnalité originale, importante et indispensable. La difficulté consiste à maintenir les deux termes (fraternité / autonomie et liberté personnelle), c’est pourquoi l’humanité, faute de sens et de projet qui permettraient cette utopie, s’abîme toujours dans des totalitarismes ou des violences interindividuelles, et se dirige peut-être vers une auto-destruction.
La personnalité originale comme partie unique de l’essaim, la note dans la partition, l’ascendant dans la lignée, cette composante individuelle est importante certes, sans elle la musique change. Pourtant une note unique si pure soit-elle ne fait pas une mélodie. Deux notes consécutives ne sont pas seulement la juxtaposition de deux notes. Un couple est plus que la somme de deux individus, la véritable union augmente chacun de l’autre dans une alchimie mystérieuse dont on ressort changé, plus grand, même après la séparation.
Il y a un livre très intéressant, très beau et émouvant ( pas toujours facile à lire, en tout cas pour ma part, mais...) "Je et tu". Martin Buber qui en est l’auteur à aussi écrit "Le Chemin de l’homme" (très beau livre également) et aussi "Utopie et Socialisme". Je ne crois pas qu’une société fraternelle soit forcément incompatible avec la réalisation de soi. Je comprend qu’on en soit si éloigné aujourd’hui qu’on considère cela comme une utopie. Mais de petites ou moyennes communautés à l’échelle de l’individu, sont possibles. Cela existe et a existé. Et c’est peut-être justement d’utopies que nous avons le plus besoin aujourd’hui. Il faut supposer l’utopie permise. La bâtir ardemment pour sortir de l’impasse, non ? D’ailleurs ton site est déjà une utopie.
D’accord avec tout ça, c’est intéressant. Je voulais juste dire que j’étais contre l’idée de dissolution des personnes dans un Tout à la manière Boudhiste. Mais sinon c’est vrai qu’une véritable société est plus que les parties qui la composent. Une société ne peut être fraternelle que dans le réalisation, la transformation et le dépassement de soi, ça implique des "sacrifices", des concessions, mais pas la dissolution individuelle, au contraire.
Et oui, c’est de mon cru, ils ont pompé en changeant juste quelques mots, et sans me citer, je vais leur dire... et puis après je leur réclame 300000000 pour plagiat !, non je déconne..
Explosé de rire !!!
Il change un mot, et dit inspiré par "David Miriam", quel culot !
A ta place j’empecherai le copier coller sur mon site, il y a un code javascript pour ca.......
C’est abusé de recopier un texte, d’en changer 2 mots, et de dire ’inspiré de’ .. genre c’est lui qui a écrit le reste !
Ca m’enrage ce manque de respect total !!!!!
Oui, y en a qui n’ont pas trop de scrupules. Mais bon dans l’histoire c’est le pompeur qui finit par être ridiculisé quand il est démasqué. Il y en a un autre (ou le même) qui a posté de mes textes sur un forum (Meum’s, sur Seneweb), mais pour finir il s’est fait grillé. En tout cas, si je suis pompé ça veut dire que c’est le début de la gloire...!!!
Voir quelques autres textes du même tabac sur ce site. Là c’était juste un petit tableau des vies absurdes et des injonctions contradictoires qui constituent ce qu’on appelle "nos sociétés". A+=
Merci pour l’appréciation. Moi je trouve ce texte un peu lourd et long (du coup je ne l’avais pas inclu dans mon recueil), il faut dire que je l’ai écrit y a déjà quelques années, mais il est intéressant quand même.
Salut,
Vide de sens, je ne crois pas. Mais bon, ce n’est pas du tout le texte que je préfère, je ne le défendrais pas jusqu’à la mort ! Peut-on le qualifier de poésie, je ne sais pas..., qu’est que la poésie d’abord ?, un texte qui sera de la poésie pour certains n’en sera pas pour d’autres. Vous dites "on ne s’improvise pas poète", c’est sûr que toute création est difficile, mais je ne crois pas qu’il y ait de formation de poète, c’est bien plutôt un art de l’improvisation et de la spontanéité qui s’affranchit de toutes les règles. Pour moi, nombre de poésies considérées comme telles, et bien que très bien écrites, sont sans aucun intérêt.
Tout à fait d’accord... totalement sans fondement, absurde et ridicule ne conviendrais pas.
Peux etre inutile ?
Sans parler de l’illustration totalement absoute de la moindre touche poétique ou créative.
Quel... intéret ???
Bjr,
Merci pour l’appréciation. Il me semble que c’est plutôt clair non ?, c’est une critique de la barbarie générale, à tendance auto-destructrice et qui s’autoalimente. Bien sûr, tout le monde ne passe pas son temps à s’entretuer directement, mais c’est souvent le résultat obtenu (suite à la misère, à la solitude, aux "accidents" de travail, à la compétition énonomique...), et puis il y a d’autres manières de "tuer" que le meurtre.
J’ai réussi à faire fermer ce blog. Il y avait beaucoup de plagiat dont un de mes poèmes. Et d’autres personne qui avaient été plagié aussi.
Bon courage.
Bonsoir, très joli texte que j’ai trouvé sur le site http://www.affection.org/blog_2-1-1... publié par un certain Kad, extrait d’un recueil soi disant mais sans vos coordonnés....
Mon exécution publique est prévue à 18 h 30.
A peine le temps d’enfiler mon whisky et de finir d’expliquer à un invité la symbolique de ma démarche, que les serviteurs de la mort surgissent dans la salle d’exposition et se fraient un chemin
à travers le public...
Enveloppés dans un drap blanc noué à la taille, les comédiens, au nombre de quatre, portent tous un masque. Ils se ruent sur moi, me traînent vers une estrade, me ligotent à mon chevalet et me bandent les yeux. La mort, les bras croisés, observe silencieusement la scène et ouvre un parchemin pour lire la sentence :
– Moi, la camarde, au nom du tribunal des enfers, condamne BANNIART pour avoir crevé la toile, mis à plat les sujets, usé du Kalam du diable, représenté l’imprésentable, empâté la création, exorbité l’œil du cyclone, tranché, démantelé, abstractisé la réalité... Qu’as-tu à dire pour ta défense ? Parle !
– Mon expression puise sa force dans la tourmente d’un drame existentiel. En fait, je suis venu au monde avec une bombe à retardement dans les tripes. Impossible de la désamorcer...
Après la terrible déflagration dont je souffre encore à ce jour les conséquences, j’ai été banni par ma tribu adoptive avant d’atterrir sur la terre de mes ancêtres comme un météorite déchu de sa planète... Tortueux parcours tracé par les forces agissantes de mon destin qui m’entraîne dans un univers où des vérités intérieures se dévoilent à la lumière d’une volonté obsessionnelle de transmutation...
– Serais-tu devenu un mutant ? Intervient la mort. Ses serviteurs éclatent de rire. Le public reste silencieux. Je poursuis d’un ton solennel :
– En quelque sorte, oui. Par ma pénitence, mon travail de recherche, mes remises en cause, mon évolution... Par ma sensibilité, ma lutte, ma quête de vérité, mes doutes, ma folie, ma sagesse, mes provocations, mes besoins de défis... Par tout ce que je suis et par mon accès dans l’univers de la peinture, en ce sens, oui, je suis un mutant, voire un transmutant...
Le public applaudit longuement et la mort sans se laisser décontenancer ajoute :
– Tu veux mourir au plastic ? Au pinceau ? Au couteau ? A l’acrylique ? Et d’éclater de rire avant de sommer ses serviteurs de m’emmener.
Le convoi funèbre revient quelques minutes plus tard, en pas rythmés sur un morceau de musique de Boozoo Bajou, tenant un brancard où je suis allongé, inerte, symboliquement mort, recouvert d’un linceul blanc. Il me pose au milieu du public. La mort et ses serviteurs se mettent à danser autour de moi, invitant le public à en faire autant. Puis ils me hissent sur l’estrade et la mort déclame avec gravité :
Au nom la mort et de son mystère niché au fond de la vie, au nom du lien qui les unit et au nom de la beauté secrète que recèle ton art d’investigation, je t’ordonne de renaître dans la peau nouvelle d’un homme nouveau :
Tu es l’artiste qui éclaire le monde.
Tu es le demain qui se déroule aujourd’hui.
Tu es l’humain qui active la vie.
Tu es la vie.
Sur les hautes terres de nos mondes
nous avons mangé dans les mêmes mains,
force d’amour nous est donnée.
Sur les hautes terres nous n’avons pas osé,
nous, petit peuple osé réver le monde,
chercher les mondes inconnus,
les terres légères.
Je marche le coeur dans la lumière,
je marche nu,
je vois le mensonge de la peur.
Nous sommes seuls
L’éternelle beauté se répand maintenant,
nous sommes arrivés,
à jamais.
la poésie est timide, elle danse avec
la réalité des petits pas de terreur d’enfants.
Soulève la peur, refuse.
Vois,
nous nions la recherche du mal et du bien,
nous rejetons les désirs de bonheur et de liberté,
l’envie d’être ou d’avoir été,
je tiens cette soif d’être dans ma main,
je la jette,j e n’en ai pas besoin.
Qu’attends tu encore,
tu sais que tu est mort demain, tu le sais
Nous rejetons le connu,
nous rejetons le connu car le monde est à découvrir,
nous rejetons en vrac la poussière des idées accumulées.
Songe ta vie,
à chaque instant, renaitre,
le bric à brac des nations et des religions
nous le rejetons,
sur la terre sacrée
nul besoin de croire.
las de certitudes,
nous avons l’ardente nécessité
d’avancer seul à travers chaque
premier
matin.
ose,
demain n’existe pas plus qu’hier,
seul le présent s’étend sur toutes les terres,
le monde est en fleur et en sang
et les étoiles habitent mon coeur.
Bonjour,
J’ai apprécié votre écriture et votre regard sur le monde. Je vous invite sur mon forum http://altertexto.kanak.fr/index.forum
pour partage poétique et discussion.
J’ai partagé le sentiment que vous décrivez en visite au Japon (Tokyo), peut-être mon carnet de voyage vous plaira-t’il ? http://ultraviolette.over-blog.com/...
Quoi qu’il en soit, je vous souhaite une bonne continuation et reviendrai vous lire avec plaisir.
Bjr, merci beaucoup pour vos encouragements. Votre blog sur le Japon a l’air intéressant en effet. J’aime bien les courts poèmes, parfois des similtudes avec des miens.
Ma promenade sur le Net m’a amenée tout naturellement sur votre site que je n’ai pas le temps aujourd’hui de fouiller dans tous les recoins... il semble tellement riche, à l’image certainement de l’auteur(e). Mais le tout premier sentiment est l’émotion des mots et des images. Enfin des mots remplis, vivants, habités entièrement de notre réalité intérieure et extérieure mais qui gardent poésie et sensibilité.
Il semble que vous n’ayez pas compris que ce texte était de l’ironie, de l’humour noir... A moins que ce soit vous qui fassiez de l’humour qui m’a échappé ??
Bjr,, content que ça vous l’aise. En fait, tout ce qui est sur ce site est de moi : David Myriam (sauf indication contraire). Je serais curieux de voir le résultat caligraphié.
je ne trouve pas l auteur de ce poeme, ni quand il a ete ecrit ?
qui est l auteur, en qq mots...si c est possible, un peu son histoire ?... ;
l usine - barbelé , peut etre, mais quand elle ferme, la misere sociale eclate sur les medias et dans les foyers des ouvriers et bien plus encore a une echelle plus grande ;alors,
peut etre, une mesure dans les choses ?la poesie-espoir ou l on voit le beau dans ttes les manifestations de la vie. n est ce pas son role, justement , dans ce monde reel trop cru ?la poesie, c est , dire en plus beau le reel ou l envelopper d espoir, de papier de soie pour qu il soit plus facile a vivre, a rever ???
gilda
Bonjour,
Toutes les créations de ce site sont de moi (sauf mention contraire) : David Myriam.
Des infos dans la FAQ
Bien sûr que des problèmes sont générés par les fermetures d’usines étant donné le contexte, mais mieux vaudrait s’interroger avant, et inventer-pratiquer d’autres modes d’activités, d’organisation sociale et politique que le travail-esclavage, le capitalisme et ses démons, la compétition, les hiérarchies, le productivisme-croissance, etc.
Et dans cette histoire, les travailleurs ne sont pas que victimes, il sont aussi responsables, responsables d’avoir trop suivi-subi comme des moutons, et de ne se plaindre un peu qu’avant le coup de couteau fatal de l’abattoir social.
Sinon, la vie elle-même n’est pas toujours belle dans ses manifestations, et puis il y a hélas énormément d’horreurs dans les choses créées-organisées par les humains.
Alors, la poésie, comme toute création, n’a pas pour rôle principal de bercer les gens d’illusions, de faux espoirs, d’emballages bonbons pour faire passer les pillules au cyanure qu’un monde inhumain, créé et entretenu pas presque tout le monde tous les jours, veut nous faire avaler jusqu’à l’étouffement. La poésie n’a donc pas seulement pour rôle de faire éclater la beauté du réel, du monde, de parler d’utopies, mais aussi de distiller le malaise, les questions, les remises en cause, de faire jaillir et ressortir les tares innombrables qui nous entourent et leurs racines.
merci pour vos commentaires
Au plaisir
David Myriam
Merci pour le commentaire. Bah, pour moi la fin joue sur le contraste entre des évocations jolies-jolies et une sorte de retour à la réalité (la rumeur dit que l’ombre des noyers n’est pas bonne pour dormir). Sans doute aussi que c’est pour montrer que si on voit les choses en rose comme au début du poème, de manière poétique, c’est qu’on est un peu "fou", qu’on s’est endormi sous un noyer.
Bonjour, et merci pour le commentaire. C’est un peu triste, mai bon, le chat était âgé.
Et puis l’immortalité ne serait-elle pas barbante à la longue ?
J’ai un problème, pour demain je dois ramener une poésie engagée au collège et je sais pas trop ce que sais et jy comprend rien, est-ce que quelqun peux me donner le titre et l’auteur d’une poésie engagée SVP ?
Merci beaucoup
Un bouquin cadenassé, déposé sur un lit déchiré.
Le regard perceptible, l’inertie de l’instant visuel.
La pause incroyable, l’envie de saisir le joyau.
Couverture cicatrisée par des mains fort solennelles.
Le toucher sensuel, l’odeur du vécu sans contredit.
De la majesté, la possession, l’emprise du savoir.
Ouvrir les mots dans la connaissance magnifique.
Pages jaunies, l’ultime prophète d’une vie remplie.
Les yeux éblouis, la curiosité d’une merveille syllabique.
S’asseoir pour déguster le plaisir de l’esprit.
Patauger ses doigts entre les mots magiques.
Lire la satisfaction d’un récit incomparable.
Sourire dans un silence, satisfaction béatifiée.
À la lueur de l’émotion, parcourir l’écrin doré.
Être vrai jusqu’à la fin, histoire assurée.
Air de printemps,
Hirondelles qui dansent ;
Bourgeons aux champs,
Au doux vent chaud, balancent,
Comme insouciants, leur indolence ;
Offrant aux passants leur abondance,
Ils captent et cherchent la caresse voilée
Du papillon, d’une lumière orangée.
Ils craquent en silence les feuilles
Poussent, se déshabillant, silencieux
À la musique langoureuse recueillent
Dans leur essence, la beauté des cieux.
Vibration arc-en-ciel
Ils se préparent à apparaitre,
Caresse d’essentiel
A l’air libre, enfin renaitre !
Débordants de joie, de vie retenue,
Enivre nos sens telle une source éternelle,
Comme une impudique poitrine offerte nue.
Ivresse des sens, lumière nouvelle.
Nouveau ciel, nouvelle terre,
De fraicheur et d’ardeur, ensemencent,
Jonquilles, primevères, fleurs printanières,
Ivresse d’Essence.
Eternel printemps d’un soleil intérieur
Voici pimpant le gai printemps qui chante !
j’aime beaucoup cette poesie mais...je ne vois pas de quelle liberté parle t-elle ??est ce que c’est un fait qui cest passé pendant la guerre ou ca parle de la liberté de chaque homme ??expliquez moi ce que vous avez compris par ce poeme !!!!
Luce,
Devinez quoi je vous ecrit en direct de mon lieu de travail ou on fait un "metiers de putes" . Moi et les autres sous-merdes qui m’entourent avont le droit je crois à un droit de reponse , que je fait essayé d’élaborer dans mon pettit cerveux d’etre servile au capitalisme.
Commencon pas une presentation breve de moi-meme pour que vous puissiez en savoir plus sur ces gens qui ne trouve pas de sens a leur vie :jeune homme de 19 ans j’ai arrété les etudes en 1ere pour incompatibilité d’humeur avec le corps enseignant ,j’ai tres vites enchainées les pettits boulot plus ou moins interessant (un large evantail qui va a manoeuvre sur un chantier à animateur 4-5 ans au centre aéré joie de vivre dans le perigord) pour etre actuellement téléacteur. Amateur de rock indé depuis mon adolescence (meme si en grandissant je commence a apprecier le prog de robert Wyatt) je suis tombé sur ce site car je voulais verifier si chroniques de l’absurde n’était pas déja trop utuliser ,en effet je voulais nommer ainsie une serie des court métrages que je réalise avec une troupe d’amies.
Mais bon laisson de coté ma vie futiles de téléacteur de merde ,qui est juste bon à lire à haute voie des disocurs ecrit sur son ecran pc ,à arnaquer des pauvres particuliers et qui en plus y prend un plaisir charnel ( vous verriez autour de moi que des animaux).
Oui interessons nous aux corps du metier dans son ensemble qu’y trouve t-on : de fourbes méres monoparentales qui doivent nourrir leur progéniture ,d’ignoble chomeur de longue durée qui se refugie pour fuir lachement une radiation , ou encore des jeunes profiteurs qui se la coule douce entre leur lieu de travail et la faculté. (pour la finacer quil dise mon cul oué !).
Pour finir j’avouerai que c’est un travail assez éprouvant psychologiquement que la préssion est constante que le systeme de primes en éscalier installe un climat de suspicion permanant ,que les ecoutes regulieres par des superieurs rend un peu paranoiaques et que cela doit etre l’un des travails les plus montones qu’il existe (cela s’apparente plus ou moins a du travail à la chaine).
Non mais le plus terrible reste quand memelorsque tu appeles des personnes qui profitent de leur positon de superiorité pour etre d’une meprisance et d’une vulgarité qu’ils ne se permétrait jammais dans la vie de tout les jours .
a bon entendeur salut !! ;)
Merci pour votre message intéressant.
Tout d’abord, je rappelle qu’il s’agit là d’une fiction, je ne me permets pas de tels discours au téléphone. Peut-être qu’il y a trop d’ironie et de provocation dans ce texte, mais bon, c’est mon style, pour faire réagir.
Aux 1 ou 2 appels à but publicitaire que je reçois par semaine, dès que j’ai identifié qu’il s’agit de commerce, je dis à la voix téléphonique : « ça ne m’intéresse pas, au revoir, merci de ne pas rappeler », en essayant de garder une voix neutre. Je comprends bien votre fatigue d’être jeté à longueur de journée, mais faut voir aussi que ce genre d’appel est bel et bien une sorte d’agression (soft). Et donc, pas étonnant que les gens (qui ne sont hélas pas des saints) ont souvent des réactions un peu violente. Il vaudrait évidemment mieux, par compassion pour les agents de votre travail merdique et fatiguant, que les appelés restent polis, certes. Mais imaginez que vous êtes en train de vous balader peinard dans la campagne, et qu’un inconnu vont tombe dessus, pour vous fourguer un truc, sous couvert de sondage ou autre devis gratuit, eh bien vous le rabrouer, parfois un peu sèchement si vous êtes mal lunée ou que c’est le 3ème de la journée, parce que vous n’avez rien demandé et que vous préférez continuer à marcher tranquille.
Sinon, pour moi tout travail dans le cadre dans ce système est de la prostitution, surtout quand on est à la chaîne et sans guère de libertés. Moi-même je suis une pute (pour des grosses boîtes en plus !), c’est juste un constat amer et général, pas une insulte. En fait j’utilise le mot prostitution aussi pour montrer que les putains (travailleur-euses sexuels) font la même chose que les travailleurs ordinaires, et donc on peut tout aussi bien traiter les ouvriers du bâtiment (ou les téléopérateur, ou les artistes qui vendent aux entreprises) de putes. Et pour les travaux particulièrement pénibles, auxquels on s’oblige pour survivre, le mot pute peut s’appliquer alors dans le sens usuel de la catégorie de prostituées qui sont contraintes par la misère, des macs…, à faire ce boulot, et qui sont (comme toutes les prostituées, les téléopérateurs…) méprisées, invisibles.
Et puis pour finir, je pense que tout salarié, s’il est d’abord victime, surtout les plus pauvres contraints à des travaux usant, peu payés et répétitifs, est aussi coupable, plus en profondeur, de sa situation. Coupable de ne pas se révolter vraiment, de ne pas tout faire pour changer radicalement le monde, de ne pas dénoncer le travail et le capitalisme pour ce qu’ils sont : une exploitation organisée qui détruit le monde et les humains qui y participent. Ce qui veut dire qu’il ne faut pas s’interdire de critiquer le travail et les salariés exploités sous prétexte qu’ils en bavent.
Merci pour votre attention
En espérant ne pas vous avoir au bout du fil dans le cadre de votre travail ! lol
Bonjour,
C’est ma première visite sur ce site,
j’y suis venue par hasard au fil d’une recherche sur le vocabulaire inhérent à "la boucherie" afin d’enrichir un commentaire sur un site de défense animale.
Tout comme vous je pense que les animaux sont traités comme des objets par les humains,peut-être même que les humains traitent mieux certains de leurs objets auquels ils sont attachés !
Pour les animaux dits "de ferme" ou "de boucherie",
nous sommes au plus haut sommet d’une "hypocrisie collective", soutenue par un conditionnement social et culturel de la nourriture carnée .
Ce conditionnement a d’autant plus perduré et été encouragé du fait de la source de profit que représente l’animal.
La plupart des humains mangent de la viande,
une grande partie se voile la face,inconsciemment conditionnée depuis des millénaires à être carnivore sans se poser de questions ...
Une autre partie émerge, celle qui se réveille, et qui a pris conscience de la cruauté infligée aux animaux d élevage traditionnel ou industriel qui sont assassinés chaque jour dans les abattoirs !!!! cette partie là veut faire cesser ce que l’on peut simplement appeler la chaîne de la cruauté, de la torture et de la mort des animaux destinés à la boucherie !
La phrase que vous avez mise en titre résume à elle toute seule "l’ANTINOMIE " et par conséquent l’incompatibilité
d’associer ces deux mots !!!!
Ceux qui réclament que l’on tue sans faire souffrir l’animal dans les abattoirs occultent la souffrance qui précéde la mort, ils veulent ignorer que c’ est un être vivant et sensible capable de ressentir la douleur,la peur et de pressentir la mort !
Quel leurre !
La mort ne peut jamais être douce quand on vous assassine !!
Vous le décrivez d’une façon,très émouvante dans vos textes
et je pense que c’est peut-être le meilleur moyen pour sensibiliser l’opinion sur la maltraitance animale !
Des écrits dans lesquels on dénonce sans le dire ,
rien que par les mots et les réactions d’un enfant
non conditionné qui lui raisonne le plus logiquement du monde et voit la cruauté et les crimes sur les animaux perpétrés par son père que les adultes ne voient plus !
Dans le texte ci-dessus vous réussissez à rendre palpable l’insoutenable cruauté, si terrifiante, si inéluctable de la mort de l’animal sur la chaîne impitoyable de l’abattoir, que l’on a l’impression d’y être !
C’est un livre complet qu’il faudrait publier ou des nouvelles , ou des poésies pour sortir les futures générations de ce conditionnement !
Bravo pour votre site et votre oeuvre !
Bonjour,
et merci pour votre message.
Je suis bien d’accord avec vous.
Créer un recueil illustré fait partie de mes projets, ...quand j’aurai un moment, et peut-être avec de nouveaux dessins à venir. C’est la diffusion ensuite qui est difficile dans notre monde.
En attendant, n’hésitez pas à faire circuler mes textes et images.
Amicalement,
David.Myriam
Bonjour David,
meilleurs voeux pour cette nouvelle année. Ce n’est que récemment que j’ai découvert vos créations. Merci d’avoir partagé vos étapes de création. Il est parfois difficile de comprendre les oeuvres des artistes mais là en suivant ces croquis, on comprend tout de suite votre inspiration et la créativité qui en découle ! Bravo pour ce dessin ! Personnellement j’aime également le croquis 6 avec les traits. Bonne continuation,
Christine
Vos dessins sont vraiment frappants ! Je serais même tentée de dire que s’ils contenaient de la couleur, ils seraient peut être moins graphiques. Bravo !
je ne connais pas vraiment les dynamiques politico-économiques en relation avec les guerres mais je trouve vos dessins vraiment expressifs. Merci pour ce partage et cette sensibilisation sur ce sujet complexe.
Bonjour David, j’adore tes poèmes ! J’ai choisi celui-ci pour un projet et je voulais savoir si tu pourrais répondre à deux petites questions :
1. Où pourrais-je trouver ta biographie ?
2. Pourrais-tu me parler un peu de ton poème ’’Folle déliée’’ ; les thèmes présents et la signification des vers ?
Ce serait tellement apprécié !
( emilygoudreau@hotmail.fr )
salut
vraiment je suis très intéressé de recevoir des commentaire sur le texte de : La cathédrale de béton s’avance vers nous, les voyageurs se lèvent tous d’un bond et se massent vers le sas de sortie.
Bonjour
Je souhaite aider mon enfant dans son devoir d’art plastique.
Pouvez vous m’aidez à comprendre l’ensemble des vignettes de 1 à 12 c’est très urgent merci d’avance de votre réponse.
Ce texte est juste sublime, je l’ai lu pour la première fois il y a deux ans, et je pense que c’est lui qui a été l’élement déclencheur de mon "végétariennalisme"...Alors merci, à toi qui a écris ce texte, pour ces paroles sages.
Merci beaucoup pour ce mot. Ca me fait très plaisir de savoir qu’un simple texte poétique peut aider à une prise de conscience et un changement de pratique.
Bonne continuation
bof c’est interessent mais je trouve qui manque un petite truc pour faire flippe comme par exame mettre plus de action, je trouve que le mot bain de sang est trop utilise j’orai plus mis marre de sang .... mais j’aime beaucoup le poeme on n’a vraiment l’inpresion d’etre sur les lieux :)
j’aime beaucoup votre vision des choses, il faut dire qu’elles ressemblent aux miennes. Je vous félicite pour cet écrit qui sort vraiment de l’ordinaire alors que dans les faits, cela se reproduit tous les jours.
Magnifique poeme, quelle rage, quelle fougue mais quelle justesse !!!
Je me suis permis de partager ce poème sur ’les moutons enragés’ (http://lesmoutonsenrages.fr/2016/06...) en mentionnant bien sur votre site en source du poème.
si cela vous posait le moindre problème, signalez le moi et je retirerai le commentaire de suite.
Merci aux hasards du net qui m’ont amenés ici, vous ête formidable....
Je suis une élève de première S et nous avons une anthologie à faire et dans ce cadre, je souhaiterais utiliser ce poème mais il me faut absolument le nom de l’auteur. Pourriez-vous me le donner s’il vous plaît ?
Ha non pardon, excusez moi, vous avez dû trouver mon commentaire stupide, étant donné que l’auteur est l’auteur du site du coup...
En tout cas, c’est un très beau poème ! :-)
Bonjour David et merci pour ces magnifiques dessins qui m’impressionnent tjrs autant et que j’ai bcp de plaisir à regarder, même s’ils en sont pas tous dispos en entier sur le web.
Si un jour vous venez dans l’Aude, du coté de Carcassonne je ne manquerais pas de vous rendre visite.
Bravo et très belle année de démonstration de ce que peut-être la créativité humaine au service de la beauté, de la paix, de la bienveillance, de la nature et tutti quanti qui fait du bien là où d’autres se complaisent dans la culture du mal et du désordre.
Belle santé à vous et vos oeuvres et sur le long terme !
Joëlle
Merci beaucoup pour ces encouragements, qui m’aident à continuer dans les moments parfois un peu difficiles.
Au plaisir de jouer dans votre ville un jour
Bonjour et merci
C’est vrai on peut s’apitoyer sur les conditions extrêmes du télévendeur(j’ai testé cet épouvantable métier) mais on se bat pour l’obtenir ce job ! ça ne suffit pas ! on s’accroche à l’hameçon CDI-bonheur et on colle avec le sourire 10 ans d’abonnement ou 10 kg de poisson sauvage surgelé à mamie qui pensait avoir des nouvelles de sa petite fille de Paris et qui finit par s’acheter la paix à grand coup de carte bleue.De toute façon quand on sera trop vieux pour faire le tapin il y aura quelques places pour envoyer les autres et quand on sera trop usé pour ce manège...on répondra au téléphone à longueur de journée ! Ah !Ah ! A moins qu’on ait ouvert la bouche et craché l’hameçon et le véritable emmerdeur en sa qualité d’actionnaire.
Armelle
j’avais lu ce texte il y a longtemps. Je l’avais archivé et rangeant, aujourd’hui, je l’ai relu entièrement. Du premier mot jusqu’au dernier, la même force pour hurler et pour jouir à la vie. Merci beaucoup .
Bonjour,
Nous aimons votre poésie. Nous avons travaillé sur votre poème "Cerveaux béants".
Votre engagement nous aide à garder notre indépendance et a œuvrer pour un monde meilleur.
Bonsoir, je viens de lire ce texte. Il me bouleverse, c’est exactement ce qui attend l’humanité. Nous avons percuté le mur
et ils s’en trouvent toujours qui veulent gagner plus. !!!
J’ai 67 ans, une vie de galères et d’épreuves, un fils de 17ans . Pourtant depuis 26 ans j’ai voulu faire décroissant, travail avec sophie Rabhi, participation écohameau, autoconstructeur, créateur de jardin communautaire. Je n’y suis pas arrivé , pourquoi ??? maintenant je loue un lieu-de-vie et j’essaye encore de faire au mieux pour la planete et la nature. "Comme le colibri". Merci pour l’auteur et bien le bonjour à tous.
1. > Chute abyssale, 13 février 2005, 17:51, par Lola
J’aime bien ce côté brutal et direct, bravo !
2. > Une âme blanche, 5 mars 2005, 12:48, par sed
c un bon poéme trés intérésant
1. > Merci, 5 mars 2005, 15:33, par David Myriam
Merci pour les compliments, et pour un des premiers messages de commentaires sur mon site !
3. > Chaque seconde, 2 avril 2005, 17:10, par marchand
ce poeme est bien mais je voudrais plus explication pour le comprendre car j ai une etudes de texte et je voudrais bien avoir des renseignements . mais ce poeme est bien construit .il montre que chaque seconde est tres importante........etc
1. > pour les explications..., 4 avril 2005, 11:41, par David Myriam
Merci,
Pour les explications, il me faudrait des questions, parce je ne sais pas trop quoi dire sinon...
4. > L’aube existe, 27 mai 2005, 18:27, par yvon
si l’aube existe c’est d’abord une aube personnelle, il n’y a pas de chant possible sans la petite musique au fond de soi, tout au fond, au milieu du cri de peur, trouver sa note juste. Je ne sais pas chanter. Marcher seulement. Trouver son chemin. Je cherche parfois, et parfois je m’enroule dans ma routine et je m’endors. Après le noir la lumière ? Pas si sûr et pas si sûr d’ailleurs que le noir soit si noir que cela. Le plus dommage c’est de nous avoir fait croire que la vie était cela, cette absence de soi, cette solitude de l’autre. Je sens de plus en plus en cherchant le sens de ma vie, que si la vie humaine a un sens, et peut-être la vie en général, ce sens passe forcément par les autres, j’en viens à me demander si on n’est pas justement les autres (image de l’essaim) et je ne sais pas. Mais en posant cette question du sens, je découvre doucement une richesse, une exubérance, un mouvement, une mélodie, quelque chose tourne rond et bon dans le monde, au moins de la nature, mais pour moi, l’infime parcelle de ce tout illusoire, moi, comment me résoudre à ma petitesse et à mon éphémérité ? Dans l’union sans doute. L’amour qui nous augmenterait de l’autre en le rendant plus complet, en nous complétant aussi. L’amour de l’autre ou la conscience du monde ? Il y a le noir, mais qu’est-ce que c’est ? Une perception, une émotion, une illusion, une image ? Si nous pouvions laisser le noir en plan avec les autres couleurs, et le reste, il resterait quoi ? Soi peut-être, comme un début de nous. Oui, sans doutes, alors l’aube existera dans ton coeur, pour d’autres coeurs.
1. > L’aube existe, mais elle n’agira pas toute seule, 28 mai 2005, 15:46, par David Myriam
Merci pour ce beau et intéressant commentaire.
Je pense que les humains sont grégaires et devraient communier, fraterniser, mais pas au point de se fondre dans un essaim, il faut toujours garder et développer sa personnalité originale, importante et indispensable. La difficulté consiste à maintenir les deux termes (fraternité / autonomie et liberté personnelle), c’est pourquoi l’humanité, faute de sens et de projet qui permettraient cette utopie, s’abîme toujours dans des totalitarismes ou des violences interindividuelles, et se dirige peut-être vers une auto-destruction.
2. > L’aube existe, mais elle n’agira pas toute seule, 1er juin 2005, 15:25, par yvon
La personnalité originale comme partie unique de l’essaim, la note dans la partition, l’ascendant dans la lignée, cette composante individuelle est importante certes, sans elle la musique change. Pourtant une note unique si pure soit-elle ne fait pas une mélodie. Deux notes consécutives ne sont pas seulement la juxtaposition de deux notes. Un couple est plus que la somme de deux individus, la véritable union augmente chacun de l’autre dans une alchimie mystérieuse dont on ressort changé, plus grand, même après la séparation.
Il y a un livre très intéressant, très beau et émouvant ( pas toujours facile à lire, en tout cas pour ma part, mais...) "Je et tu". Martin Buber qui en est l’auteur à aussi écrit "Le Chemin de l’homme" (très beau livre également) et aussi "Utopie et Socialisme". Je ne crois pas qu’une société fraternelle soit forcément incompatible avec la réalisation de soi. Je comprend qu’on en soit si éloigné aujourd’hui qu’on considère cela comme une utopie. Mais de petites ou moyennes communautés à l’échelle de l’individu, sont possibles. Cela existe et a existé. Et c’est peut-être justement d’utopies que nous avons le plus besoin aujourd’hui. Il faut supposer l’utopie permise. La bâtir ardemment pour sortir de l’impasse, non ? D’ailleurs ton site est déjà une utopie.
3. > L’utopie existe, 2 juin 2005, 11:22, par David Myriam
D’accord avec tout ça, c’est intéressant. Je voulais juste dire que j’étais contre l’idée de dissolution des personnes dans un Tout à la manière Boudhiste. Mais sinon c’est vrai qu’une véritable société est plus que les parties qui la composent. Une société ne peut être fraternelle que dans le réalisation, la transformation et le dépassement de soi, ça implique des "sacrifices", des concessions, mais pas la dissolution individuelle, au contraire.
5. > Papillon fou, 11 juin 2005, 13:30
Ce texte est il vraiment de vous ?
Il apparaît également à cette URL :
http://petitangeadore.over-blog.com...
Voir en ligne : Comme un papillon
1. > Papillon fou, 11 juin 2005, 15:55, par David Myriam
Et oui, c’est de mon cru, ils ont pompé en changeant juste quelques mots, et sans me citer, je vais leur dire... et puis après je leur réclame 300000000 pour plagiat !, non je déconne..
2. > Papillon fou, 13 juin 2005, 12:42
Explosé de rire !!!
Il change un mot, et dit inspiré par "David Miriam", quel culot !
A ta place j’empecherai le copier coller sur mon site, il y a un code javascript pour ca.......
6. > Papillon fou, 13 juin 2005, 13:58
C’est abusé de recopier un texte, d’en changer 2 mots, et de dire ’inspiré de’ .. genre c’est lui qui a écrit le reste !
Ca m’enrage ce manque de respect total !!!!!
1. > les aleas du web..., 13 juin 2005, 15:27, par David Myriam
Oui, y en a qui n’ont pas trop de scrupules. Mais bon dans l’histoire c’est le pompeur qui finit par être ridiculisé quand il est démasqué. Il y en a un autre (ou le même) qui a posté de mes textes sur un forum (Meum’s, sur Seneweb), mais pour finir il s’est fait grillé. En tout cas, si je suis pompé ça veut dire que c’est le début de la gloire...!!!
7. > Papillon fou, 29 juillet 2005, 22:48, par morgane-loveuz
clik sur le A é va jusk o B sans laché !!!!
Voir en ligne : papillon
8. > bien bien, 1er août 2005, 23:40
ben franchmen...
j adore et...
j adhère !
Voir en ligne : http://elffairy.skyblog.com
1. > merci, 2 août 2005, 15:22, par David Myriam
Voir quelques autres textes du même tabac sur ce site. Là c’était juste un petit tableau des vies absurdes et des injonctions contradictoires qui constituent ce qu’on appelle "nos sociétés". A+=
9. > Morcellements, 10 août 2005, 12:19, par super banane
j’aime beaucoup ! très intéressant et parfois poètique... marion
1. > Morcellements, 10 août 2005, 15:29, par David Myriam
Merci, il faudra que j’en fasse d’autres, j’ai quelques brouillons en réserve...
10. Un gendarme à la fenêtre, 17 octobre 2005, 14:51
branleur...anarchiste
1. merci, 17 octobre 2005, 18:10, par David Myriam
merci pour les compliments
Voir en ligne : Art-Engage
11. Comme avant, 27 octobre 2005, 16:55, par Tombale
Original et déroutant,
j’ai pris plaisir à découvrir ce genre que je ne connaissais pas.
L’histoire et terrible et donne froid dans le dos.
Pour les éclectiques, à découvrir absolument
1. Comme avant, 27 octobre 2005, 20:35, par David Myriam
Merci pour l’appréciation. Moi je trouve ce texte un peu lourd et long (du coup je ne l’avais pas inclu dans mon recueil), il faut dire que je l’ai écrit y a déjà quelques années, mais il est intéressant quand même.
Au plaisir
12. Le monstre à deux têtes, 23 décembre 2005, 13:25
de bien grands mots ....vides de sens...on ne s’improvise pas poete...a chier...
1. monstrueux texte, 23 décembre 2005, 14:57, par David Myriam
Salut,
Vide de sens, je ne crois pas. Mais bon, ce n’est pas du tout le texte que je préfère, je ne le défendrais pas jusqu’à la mort ! Peut-on le qualifier de poésie, je ne sais pas..., qu’est que la poésie d’abord ?, un texte qui sera de la poésie pour certains n’en sera pas pour d’autres. Vous dites "on ne s’improvise pas poète", c’est sûr que toute création est difficile, mais je ne crois pas qu’il y ait de formation de poète, c’est bien plutôt un art de l’improvisation et de la spontanéité qui s’affranchit de toutes les règles. Pour moi, nombre de poésies considérées comme telles, et bien que très bien écrites, sont sans aucun intérêt.
2. Le monstre à deux têtes, 6 juin 2006, 14:32
Tout à fait d’accord... totalement sans fondement, absurde et ridicule ne conviendrais pas.
Peux etre inutile ?
Sans parler de l’illustration totalement absoute de la moindre touche poétique ou créative.
Quel... intéret ???
3. Le monstre, 6 juin 2006, 14:55, par David Myriam
Merci pour ce commentaire critique, c’est toujours intéressant. Peut-être que le propos vous dérange ?, et du coup...
Bonne continuations sur Art-Engage, DM
13. Mauvais rêve, 15 mars 2006, 14:23
TRES BEAU JE TROUVE QUE CE POÉME REVENDIQUE PAS MALE DE CHOSE, SE MELLE A TOUS LUNIVÉRES JE LES TROUVER FANTASTIQUE ;
1. Mauvais rêve, 15 mars 2006, 14:41, par David Myriam
Merci, j’aime bien mélanger plusieurs "niveaux", plusieurs sens en même temps, avec des passerelles entre.
A+=
14. Chaque seconde, 2 avril 2006, 12:40, par marine
je trouve ce poème très bien construit mais je voudrais avoir plus d’informations le concernant, avoir une explication de texte et de son auteur.
1. Chaque seconde, ça continue, 2 avril 2006, 15:33, par David Myriam
Bjr,
Merci pour l’appréciation. Il me semble que c’est plutôt clair non ?, c’est une critique de la barbarie générale, à tendance auto-destructrice et qui s’autoalimente. Bien sûr, tout le monde ne passe pas son temps à s’entretuer directement, mais c’est souvent le résultat obtenu (suite à la misère, à la solitude, aux "accidents" de travail, à la compétition énonomique...), et puis il y a d’autres manières de "tuer" que le meurtre.
A+=
15. Légers comme la plume, 14 avril 2006, 18:29, par luciole
Je veux vous signaler que votre poème a été plagié pour être mit sur un blog. Si vous voulez plus d’info je me tiens à votre disposition.
Amitié sincère
1. Légers comme la plume, 15 avril 2006, 12:35, par David Myriam
Salut,
Merci pour l’info, ce genre de chose est déjà arrivé. Merci de me dire où ça se trouve, pour que je puisse les inviter à rectifier.
Au plaisir
2. Légers comme la plume, 13 mai 2006, 13:43, par Luciole
J’ai réussi à faire fermer ce blog. Il y avait beaucoup de plagiat dont un de mes poèmes. Et d’autres personne qui avaient été plagié aussi.
Bon courage.
Amitié
3. Légers comme la plume, 13 mai 2006, 16:28, par David Myriam
ok
bonne continuation
DM
16. Etoile filante, 14 mai 2006, 10:21, par Romain Martin
Qui a écrit ce poème ?
1. Auteur, 14 mai 2006, 11:13, par David Myriam
Bjr,
L’auteur c’est moi même, David Myriam, tout ce qui est sur ce site est du même auteur, sauf indication contraire.
Bonne continuation
17. Etoile filante, 18 mai 2006, 11:09, par patrice
houaww je découvre le site , magnifique , triste , beau , nostalgique, j’écoute Zazie et je lis des poemes superbe , je suis bien , merci et merci
18. Pas à pas, 19 mai 2006, 01:13, par Douce / Françoise
Bonsoir, très joli texte que j’ai trouvé sur le site http://www.affection.org/blog_2-1-1... publié par un certain Kad, extrait d’un recueil soi disant mais sans vos coordonnés....
A vous de voir ce que vous compter faire
Bonne continuation à vous
Voir en ligne : Pas à Pas
1. Pas à pas, 19 mai 2006, 16:22, par David Myriam
Salut,
ok, merci pour l’info, je vais sans doute réclamer de noter clairement la référence...
A+=
DM
19. Dialogue commercial, 2 juin 2006, 12:23, par coxco
J’aime le style !!! bravo
Voir en ligne : http://coxco.zeblog.com
20. Performance d’artiste : mourir avant de mourir, 14 juillet 2006, 16:59, par Banniart
Mon exécution publique est prévue à 18 h 30.
A peine le temps d’enfiler mon whisky et de finir d’expliquer à un invité la symbolique de ma démarche, que les serviteurs de la mort surgissent dans la salle d’exposition et se fraient un chemin
à travers le public...
Enveloppés dans un drap blanc noué à la taille, les comédiens, au nombre de quatre, portent tous un masque. Ils se ruent sur moi, me traînent vers une estrade, me ligotent à mon chevalet et me bandent les yeux. La mort, les bras croisés, observe silencieusement la scène et ouvre un parchemin pour lire la sentence :
– Moi, la camarde, au nom du tribunal des enfers, condamne BANNIART pour avoir crevé la toile, mis à plat les sujets, usé du Kalam du diable, représenté l’imprésentable, empâté la création, exorbité l’œil du cyclone, tranché, démantelé, abstractisé la réalité... Qu’as-tu à dire pour ta défense ? Parle !
– Mon expression puise sa force dans la tourmente d’un drame existentiel. En fait, je suis venu au monde avec une bombe à retardement dans les tripes. Impossible de la désamorcer...
Après la terrible déflagration dont je souffre encore à ce jour les conséquences, j’ai été banni par ma tribu adoptive avant d’atterrir sur la terre de mes ancêtres comme un météorite déchu de sa planète... Tortueux parcours tracé par les forces agissantes de mon destin qui m’entraîne dans un univers où des vérités intérieures se dévoilent à la lumière d’une volonté obsessionnelle de transmutation...
– Serais-tu devenu un mutant ? Intervient la mort. Ses serviteurs éclatent de rire. Le public reste silencieux. Je poursuis d’un ton solennel :
– En quelque sorte, oui. Par ma pénitence, mon travail de recherche, mes remises en cause, mon évolution... Par ma sensibilité, ma lutte, ma quête de vérité, mes doutes, ma folie, ma sagesse, mes provocations, mes besoins de défis... Par tout ce que je suis et par mon accès dans l’univers de la peinture, en ce sens, oui, je suis un mutant, voire un transmutant...
Le public applaudit longuement et la mort sans se laisser décontenancer ajoute :
– Tu veux mourir au plastic ? Au pinceau ? Au couteau ? A l’acrylique ? Et d’éclater de rire avant de sommer ses serviteurs de m’emmener.
Le convoi funèbre revient quelques minutes plus tard, en pas rythmés sur un morceau de musique de Boozoo Bajou, tenant un brancard où je suis allongé, inerte, symboliquement mort, recouvert d’un linceul blanc. Il me pose au milieu du public. La mort et ses serviteurs se mettent à danser autour de moi, invitant le public à en faire autant. Puis ils me hissent sur l’estrade et la mort déclame avec gravité :
Au nom la mort et de son mystère niché au fond de la vie, au nom du lien qui les unit et au nom de la beauté secrète que recèle ton art d’investigation, je t’ordonne de renaître dans la peau nouvelle d’un homme nouveau :
Tu es l’artiste qui éclaire le monde.
Tu es le demain qui se déroule aujourd’hui.
Tu es l’humain qui active la vie.
Tu es la vie.
Voir en ligne : Performance d’artiste : mourir avant de mourir
21. je marche nu à jamais, 16 août 2006, 00:05, par didier
Sur les hautes terres de nos mondes
nous avons mangé dans les mêmes mains,
force d’amour nous est donnée.
Sur les hautes terres nous n’avons pas osé,
nous, petit peuple osé réver le monde,
chercher les mondes inconnus,
les terres légères.
Je marche le coeur dans la lumière,
je marche nu,
je vois le mensonge de la peur.
Nous sommes seuls
L’éternelle beauté se répand maintenant,
nous sommes arrivés,
à jamais.
la poésie est timide, elle danse avec
la réalité des petits pas de terreur d’enfants.
Soulève la peur, refuse.
Vois,
nous nions la recherche du mal et du bien,
nous rejetons les désirs de bonheur et de liberté,
l’envie d’être ou d’avoir été,
je tiens cette soif d’être dans ma main,
je la jette,j e n’en ai pas besoin.
Qu’attends tu encore,
tu sais que tu est mort demain, tu le sais
Nous rejetons le connu,
nous rejetons le connu car le monde est à découvrir,
nous rejetons en vrac la poussière des idées accumulées.
Songe ta vie,
à chaque instant, renaitre,
le bric à brac des nations et des religions
nous le rejetons,
sur la terre sacrée
nul besoin de croire.
las de certitudes,
nous avons l’ardente nécessité
d’avancer seul à travers chaque
premier
matin.
ose,
demain n’existe pas plus qu’hier,
seul le présent s’étend sur toutes les terres,
le monde est en fleur et en sang
et les étoiles habitent mon coeur.
Voir en ligne : http://www.fleurantin.fr
22. Climatisés, 30 août 2006, 09:42, par eve
Bonjour,
J’ai apprécié votre écriture et votre regard sur le monde. Je vous invite sur mon forum
http://altertexto.kanak.fr/index.forum
pour partage poétique et discussion.
J’ai partagé le sentiment que vous décrivez en visite au Japon (Tokyo), peut-être mon carnet de voyage vous plaira-t’il ?
http://ultraviolette.over-blog.com/...
Quoi qu’il en soit, je vous souhaite une bonne continuation et reviendrai vous lire avec plaisir.
Bien cordialement
Evelyne André-Guidici
Voir en ligne : lungs’ climatisation
1. merci, blog ok, 30 août 2006, 10:39, par David Myriam
Bjr, merci beaucoup pour vos encouragements. Votre blog sur le Japon a l’air intéressant en effet. J’aime bien les courts poèmes, parfois des similtudes avec des miens.
Bonnes continuations.
23. Ni blanche ni noir, 30 août 2006, 10:20, par King Kéo
Ma promenade sur le Net m’a amenée tout naturellement sur votre site que je n’ai pas le temps aujourd’hui de fouiller dans tous les recoins... il semble tellement riche, à l’image certainement de l’auteur(e). Mais le tout premier sentiment est l’émotion des mots et des images. Enfin des mots remplis, vivants, habités entièrement de notre réalité intérieure et extérieure mais qui gardent poésie et sensibilité.
Je viendrai souvent vous voir.
1. Ni blanche ni noir, 30 août 2006, 11:25, par David Myriam
Bjr,
Merci beaucoup, où là là, ça fait beaucoup de compliments d’un coup ! Au plaisir de vous revoir et de vous lire.
Bonne continuation
24. Climatisés, 1er septembre 2006, 16:23, par SilenciA
Xcellent poème, sens du rythme remarquable,
pourrait faire un lyric / texte de chanson, superbes images
Voir en ligne : Elsa in Avalon
1. Climatisés, 1er septembre 2006, 20:24, par David Myriam
Salut, merci merci. Des chansons ?, pourquoi pas. C’est vrai qu’en écrivant certains de mes textes, je pensais à des rythmes de rap
A+=
25. Logements, prisons et insécurité, 8 octobre 2006, 22:27, par dem
"Les enfants éventuels ne seront plus séparés de leur père ou mère incarcéré, ce qui pouvait nuire à leur bonne éducation."
Ah oui , voici une excellente idée pour les pédophiles.
1. texte décalé, 9 octobre 2006, 10:23, par David Myriam
Bjr,
Il semble que vous n’ayez pas compris que ce texte était de l’ironie, de l’humour noir... A moins que ce soit vous qui fassiez de l’humour qui m’a échappé ??
David Myriam
26. Fleurs de sel, 15 novembre 2006, 21:52, par mois87
j’ai trouvé ce poeme très intéressant et jaimerai l’écrire en caligraphie. J’aimerai connaitre le nom de l’auteur pour l’indiquer en ba de page.
merci
1. Auteur, 16 novembre 2006, 09:59, par David Myriam
Bjr,, content que ça vous l’aise. En fait, tout ce qui est sur ce site est de moi : David Myriam (sauf indication contraire). Je serais curieux de voir le résultat caligraphié.
DM
27. Petit Papillon, 15 novembre 2006, 21:54, par mois87
Quel est le nom de l’auteur ? Merci
28. Voiles du matin, 15 novembre 2006, 21:56, par mois87
peut on connaitre l’auteur ? Merci
29. Petit Papillon : auteure, 16 novembre 2006, 10:01, par David Myriam
Bjr, en fait, tout ce qui est sur ce site est de moi : David Myriam (sauf indication contraire).
DM
30. Voiles du matin : auteur, 16 novembre 2006, 10:01, par David Myriam
Bjr, en fait, tout ce qui est sur ce site est de moi : David Myriam (sauf indication contraire).
DM
31. Les usines à part, 23 novembre 2006, 08:41, par gilda
je ne trouve pas l auteur de ce poeme, ni quand il a ete ecrit ?
qui est l auteur, en qq mots...si c est possible, un peu son histoire ?... ;
l usine - barbelé , peut etre, mais quand elle ferme, la misere sociale eclate sur les medias et dans les foyers des ouvriers et bien plus encore a une echelle plus grande ;alors,
peut etre, une mesure dans les choses ?la poesie-espoir ou l on voit le beau dans ttes les manifestations de la vie. n est ce pas son role, justement , dans ce monde reel trop cru ?la poesie, c est , dire en plus beau le reel ou l envelopper d espoir, de papier de soie pour qu il soit plus facile a vivre, a rever ???
gilda
1. le travail c’est l’esclavage, 23 novembre 2006, 17:13, par David Myriam
Bonjour,
Toutes les créations de ce site sont de moi (sauf mention contraire) : David Myriam.
Des infos dans la FAQ
Bien sûr que des problèmes sont générés par les fermetures d’usines étant donné le contexte, mais mieux vaudrait s’interroger avant, et inventer-pratiquer d’autres modes d’activités, d’organisation sociale et politique que le travail-esclavage, le capitalisme et ses démons, la compétition, les hiérarchies, le productivisme-croissance, etc.
Et dans cette histoire, les travailleurs ne sont pas que victimes, il sont aussi responsables, responsables d’avoir trop suivi-subi comme des moutons, et de ne se plaindre un peu qu’avant le coup de couteau fatal de l’abattoir social.
Sinon, la vie elle-même n’est pas toujours belle dans ses manifestations, et puis il y a hélas énormément d’horreurs dans les choses créées-organisées par les humains.
Alors, la poésie, comme toute création, n’a pas pour rôle principal de bercer les gens d’illusions, de faux espoirs, d’emballages bonbons pour faire passer les pillules au cyanure qu’un monde inhumain, créé et entretenu pas presque tout le monde tous les jours, veut nous faire avaler jusqu’à l’étouffement. La poésie n’a donc pas seulement pour rôle de faire éclater la beauté du réel, du monde, de parler d’utopies, mais aussi de distiller le malaise, les questions, les remises en cause, de faire jaillir et ressortir les tares innombrables qui nous entourent et leurs racines.
merci pour vos commentaires
Au plaisir
David Myriam
32. Envolée nocturne, 23 novembre 2006, 08:52, par gilda
10 ans que ce conte a été ecrit apparement !
bravo, j ai aimé , tres fort
gilda
33. Brassage d’air, 20 décembre 2006, 23:39, par hamoudi
pour quoi la pollution dans notre villes
pour quoi que ne cherche pas des solution fénale
34. L’arbre des fous, 22 décembre 2006, 16:29, par la star
c tro beau et tré jolie (sauf les trois dernière ligne ,je trouve que cela ne va pa tré bien avec la poème )
1. L’arbre des fous, contraste, 22 décembre 2006, 16:43, par David Myriam
Merci pour le commentaire. Bah, pour moi la fin joue sur le contraste entre des évocations jolies-jolies et une sorte de retour à la réalité (la rumeur dit que l’ombre des noyers n’est pas bonne pour dormir). Sans doute aussi que c’est pour montrer que si on voit les choses en rose comme au début du poème, de manière poétique, c’est qu’on est un peu "fou", qu’on s’est endormi sous un noyer.
Bonnes lectures - DM
35. Froid Dedans, 26 décembre 2006, 09:07, par Coralie
Bravo. Je trouve ce texte très touchant et réussi.
36. Diablotin, 26 décembre 2006, 18:12, par Coralie
Magnifique...et très triste, aussi.
1. Diablotin, 31 décembre 2006, 11:45, par David Myriam
Bonjour, et merci pour le commentaire. C’est un peu triste, mai bon, le chat était âgé.
Et puis l’immortalité ne serait-elle pas barbante à la longue ?
37. Poésie-engagée aidez moi SVP..........., 14 janvier 2007, 16:30, par leti447
J’ai un problème, pour demain je dois ramener une poésie engagée au collège et je sais pas trop ce que sais et jy comprend rien, est-ce que quelqun peux me donner le titre et l’auteur d’une poésie engagée SVP ?
Merci beaucoup
38. Lisibilité, 1er février 2007, 22:16, par epervier
Lisibilité.-
Un bouquin cadenassé, déposé sur un lit déchiré.
Le regard perceptible, l’inertie de l’instant visuel.
La pause incroyable, l’envie de saisir le joyau.
Couverture cicatrisée par des mains fort solennelles.
Le toucher sensuel, l’odeur du vécu sans contredit.
De la majesté, la possession, l’emprise du savoir.
Ouvrir les mots dans la connaissance magnifique.
Pages jaunies, l’ultime prophète d’une vie remplie.
Les yeux éblouis, la curiosité d’une merveille syllabique.
S’asseoir pour déguster le plaisir de l’esprit.
Patauger ses doigts entre les mots magiques.
Lire la satisfaction d’un récit incomparable.
Sourire dans un silence, satisfaction béatifiée.
À la lueur de l’émotion, parcourir l’écrin doré.
Être vrai jusqu’à la fin, histoire assurée.
André,épervier.
Voir en ligne : Site de l’Épervier
39. Papillon fou, 27 mars 2007, 16:34, par soleilamethyste
Air de printemps,
Hirondelles qui dansent ;
Bourgeons aux champs,
Au doux vent chaud, balancent,
Comme insouciants, leur indolence ;
Offrant aux passants leur abondance,
Ils captent et cherchent la caresse voilée
Du papillon, d’une lumière orangée.
Ils craquent en silence les feuilles
Poussent, se déshabillant, silencieux
À la musique langoureuse recueillent
Dans leur essence, la beauté des cieux.
Vibration arc-en-ciel
Ils se préparent à apparaitre,
Caresse d’essentiel
A l’air libre, enfin renaitre !
Débordants de joie, de vie retenue,
Enivre nos sens telle une source éternelle,
Comme une impudique poitrine offerte nue.
Ivresse des sens, lumière nouvelle.
Nouveau ciel, nouvelle terre,
De fraicheur et d’ardeur, ensemencent,
Jonquilles, primevères, fleurs printanières,
Ivresse d’Essence.
Eternel printemps d’un soleil intérieur
Voici pimpant le gai printemps qui chante !
Josiane Soleilamethyste.
Voir en ligne : Poésie printemps
40. Oh sainte Télé, aie pitié de nous, 18 avril 2007, 21:14, par diogene
Je cours m’acheter ou voler un poste de TV
41. Saison inconnue, 22 mai 2007, 22:12, par sasa
j’aime beaucoup cette poesie mais...je ne vois pas de quelle liberté parle t-elle ??est ce que c’est un fait qui cest passé pendant la guerre ou ca parle de la liberté de chaque homme ??expliquez moi ce que vous avez compris par ce poeme !!!!
42. nouvelle saison, 23 mai 2007, 15:12, par David Myriam
Bonjour, contente que ça vous plaise. Il s’agit là de la liberté en générale, une invite à changer le monde, à inventer autre chose, à se libérer.
Amicalement
David Myriam
43. Dialogue commercial, 14 février 2008, 17:01, par newcombe
Droit de reponse.
Luce,
Devinez quoi je vous ecrit en direct de mon lieu de travail ou on fait un "metiers de putes" . Moi et les autres sous-merdes qui m’entourent avont le droit je crois à un droit de reponse , que je fait essayé d’élaborer dans mon pettit cerveux d’etre servile au capitalisme.
Commencon pas une presentation breve de moi-meme pour que vous puissiez en savoir plus sur ces gens qui ne trouve pas de sens a leur vie :jeune homme de 19 ans j’ai arrété les etudes en 1ere pour incompatibilité d’humeur avec le corps enseignant ,j’ai tres vites enchainées les pettits boulot plus ou moins interessant (un large evantail qui va a manoeuvre sur un chantier à animateur 4-5 ans au centre aéré joie de vivre dans le perigord) pour etre actuellement téléacteur. Amateur de rock indé depuis mon adolescence (meme si en grandissant je commence a apprecier le prog de robert Wyatt) je suis tombé sur ce site car je voulais verifier si chroniques de l’absurde n’était pas déja trop utuliser ,en effet je voulais nommer ainsie une serie des court métrages que je réalise avec une troupe d’amies.
Mais bon laisson de coté ma vie futiles de téléacteur de merde ,qui est juste bon à lire à haute voie des disocurs ecrit sur son ecran pc ,à arnaquer des pauvres particuliers et qui en plus y prend un plaisir charnel ( vous verriez autour de moi que des animaux).
Oui interessons nous aux corps du metier dans son ensemble qu’y trouve t-on : de fourbes méres monoparentales qui doivent nourrir leur progéniture ,d’ignoble chomeur de longue durée qui se refugie pour fuir lachement une radiation , ou encore des jeunes profiteurs qui se la coule douce entre leur lieu de travail et la faculté. (pour la finacer quil dise mon cul oué !).
Pour finir j’avouerai que c’est un travail assez éprouvant psychologiquement que la préssion est constante que le systeme de primes en éscalier installe un climat de suspicion permanant ,que les ecoutes regulieres par des superieurs rend un peu paranoiaques et que cela doit etre l’un des travails les plus montones qu’il existe (cela s’apparente plus ou moins a du travail à la chaine).
Non mais le plus terrible reste quand memelorsque tu appeles des personnes qui profitent de leur positon de superiorité pour etre d’une meprisance et d’une vulgarité qu’ils ne se permétrait jammais dans la vie de tout les jours .
a bon entendeur salut !! ;)
1. Dialogue instructif, 15 février 2008, 10:33, par David Myriam
Bonjour,
Merci pour votre message intéressant.
Tout d’abord, je rappelle qu’il s’agit là d’une fiction, je ne me permets pas de tels discours au téléphone. Peut-être qu’il y a trop d’ironie et de provocation dans ce texte, mais bon, c’est mon style, pour faire réagir.
Aux 1 ou 2 appels à but publicitaire que je reçois par semaine, dès que j’ai identifié qu’il s’agit de commerce, je dis à la voix téléphonique : « ça ne m’intéresse pas, au revoir, merci de ne pas rappeler », en essayant de garder une voix neutre. Je comprends bien votre fatigue d’être jeté à longueur de journée, mais faut voir aussi que ce genre d’appel est bel et bien une sorte d’agression (soft). Et donc, pas étonnant que les gens (qui ne sont hélas pas des saints) ont souvent des réactions un peu violente. Il vaudrait évidemment mieux, par compassion pour les agents de votre travail merdique et fatiguant, que les appelés restent polis, certes. Mais imaginez que vous êtes en train de vous balader peinard dans la campagne, et qu’un inconnu vont tombe dessus, pour vous fourguer un truc, sous couvert de sondage ou autre devis gratuit, eh bien vous le rabrouer, parfois un peu sèchement si vous êtes mal lunée ou que c’est le 3ème de la journée, parce que vous n’avez rien demandé et que vous préférez continuer à marcher tranquille.
Sinon, pour moi tout travail dans le cadre dans ce système est de la prostitution, surtout quand on est à la chaîne et sans guère de libertés. Moi-même je suis une pute (pour des grosses boîtes en plus !), c’est juste un constat amer et général, pas une insulte. En fait j’utilise le mot prostitution aussi pour montrer que les putains (travailleur-euses sexuels) font la même chose que les travailleurs ordinaires, et donc on peut tout aussi bien traiter les ouvriers du bâtiment (ou les téléopérateur, ou les artistes qui vendent aux entreprises) de putes. Et pour les travaux particulièrement pénibles, auxquels on s’oblige pour survivre, le mot pute peut s’appliquer alors dans le sens usuel de la catégorie de prostituées qui sont contraintes par la misère, des macs…, à faire ce boulot, et qui sont (comme toutes les prostituées, les téléopérateurs…) méprisées, invisibles.
Et puis pour finir, je pense que tout salarié, s’il est d’abord victime, surtout les plus pauvres contraints à des travaux usant, peu payés et répétitifs, est aussi coupable, plus en profondeur, de sa situation. Coupable de ne pas se révolter vraiment, de ne pas tout faire pour changer radicalement le monde, de ne pas dénoncer le travail et le capitalisme pour ce qu’ils sont : une exploitation organisée qui détruit le monde et les humains qui y participent. Ce qui veut dire qu’il ne faut pas s’interdire de critiquer le travail et les salariés exploités sous prétexte qu’ils en bavent.
Merci pour votre attention
En espérant ne pas vous avoir au bout du fil dans le cadre de votre travail ! lol
David Myriam
44. Une âme blanche, 5 décembre 2009, 10:58, par Cnior
Felicitations.
Quelle créativité dans tous vos travaux.
Je vais en commenter de nombreux, de vos textes, je pense.
par ex, avec
VIE
Têter,
Sucer,
Mordiller,
Croquer,
Dévorer,
Macher,
Aspirer,
Renvoyer,
Ravaler.
[Cnior]
45. Do you mind ?, 5 mars 2011, 15:00, par Linda de Russie
Magnifique court-métrage, quel travail o_0
Merci beaucoup :)
Linda
http://www.photosderussie.com
46. BD en 6 cases, 16 décembre 2012, 17:06, par Leeroy LANDRES
Que représente les images : 7 et 8 ?
47. BD en 6 cases, 16 décembre 2012, 17:20, par David Myriam
Eh bien, c’est juste une ambiance numérique, des 0 et des 1, puis un visage fait de 0 et 1
48. BD en 6 cases, 16 décembre 2012, 23:44, par Leeroy LANDRES
Car on me demande de raconter une histoire a partir de ces images. Le thème est la période de noël et je peut aussi rajouter des vignettes.
49. Tuer humainement, 5 février 2013, 18:35, par Mary
Bonjour,
C’est ma première visite sur ce site,
j’y suis venue par hasard au fil d’une recherche sur le vocabulaire inhérent à "la boucherie" afin d’enrichir un commentaire sur un site de défense animale.
Tout comme vous je pense que les animaux sont traités comme des objets par les humains,peut-être même que les humains traitent mieux certains de leurs objets auquels ils sont attachés !
Pour les animaux dits "de ferme" ou "de boucherie",
nous sommes au plus haut sommet d’une "hypocrisie collective", soutenue par un conditionnement social et culturel de la nourriture carnée .
Ce conditionnement a d’autant plus perduré et été encouragé du fait de la source de profit que représente l’animal.
La plupart des humains mangent de la viande,
une grande partie se voile la face,inconsciemment conditionnée depuis des millénaires à être carnivore sans se poser de questions ...
Une autre partie émerge, celle qui se réveille, et qui a pris conscience de la cruauté infligée aux animaux d élevage traditionnel ou industriel qui sont assassinés chaque jour dans les abattoirs !!!! cette partie là veut faire cesser ce que l’on peut simplement appeler la chaîne de la cruauté, de la torture et de la mort des animaux destinés à la boucherie !
La phrase que vous avez mise en titre résume à elle toute seule "l’ANTINOMIE " et par conséquent l’incompatibilité
d’associer ces deux mots !!!!
Ceux qui réclament que l’on tue sans faire souffrir l’animal dans les abattoirs occultent la souffrance qui précéde la mort, ils veulent ignorer que c’ est un être vivant et sensible capable de ressentir la douleur,la peur et de pressentir la mort !
Quel leurre !
La mort ne peut jamais être douce quand on vous assassine !!
Vous le décrivez d’une façon,très émouvante dans vos textes
et je pense que c’est peut-être le meilleur moyen pour sensibiliser l’opinion sur la maltraitance animale !
Des écrits dans lesquels on dénonce sans le dire ,
rien que par les mots et les réactions d’un enfant
non conditionné qui lui raisonne le plus logiquement du monde et voit la cruauté et les crimes sur les animaux perpétrés par son père que les adultes ne voient plus !
Dans le texte ci-dessus vous réussissez à rendre palpable l’insoutenable cruauté, si terrifiante, si inéluctable de la mort de l’animal sur la chaîne impitoyable de l’abattoir, que l’on a l’impression d’y être !
C’est un livre complet qu’il faudrait publier ou des nouvelles , ou des poésies pour sortir les futures générations de ce conditionnement !
Bravo pour votre site et votre oeuvre !
50. Tuer humainement, 6 février 2013, 15:14, par David Myriam
Bonjour,
et merci pour votre message.
Je suis bien d’accord avec vous.
Créer un recueil illustré fait partie de mes projets, ...quand j’aurai un moment, et peut-être avec de nouveaux dessins à venir. C’est la diffusion ensuite qui est difficile dans notre monde.
En attendant, n’hésitez pas à faire circuler mes textes et images.
Amicalement,
David.Myriam
51. 2013 : une autre année ?, 7 février 2013, 15:05, par melanie
En lisant votre commentaire, différentes questions me viennent en tête, j’aimerais pouvoir à l’occasion en débattre avec vous.
Mél (du blog de banque ligne)
52. Le dernier homme, 28 février 2013, 10:41, par vy huynh
c’est un court nouvel
53. Lettre d’information, 12 mars 2013, 08:09, par Mcl.B
Pas de commentaires pour l’instant, je découvre les textes et les impressions qu’ils développent dans ma propre recherche.
54. En suspension, 9 avril 2013, 19:13, par gogozxc
c’est d’une merde incommensurable !!!!!! j’ai honte à lire ces poêmes !!!!!!!!!!!!
55. En suspension, 9 avril 2013, 19:14, par gogozxc
change de métier mon pote, sa devient n’importe quoi !!!!
56. Polarisation : étapes de création, 6 janvier 2014, 09:14, par Christine
Bonjour David,
meilleurs voeux pour cette nouvelle année. Ce n’est que récemment que j’ai découvert vos créations. Merci d’avoir partagé vos étapes de création. Il est parfois difficile de comprendre les oeuvres des artistes mais là en suivant ces croquis, on comprend tout de suite votre inspiration et la créativité qui en découle ! Bravo pour ce dessin ! Personnellement j’aime également le croquis 6 avec les traits. Bonne continuation,
Christine
57. Dessins noir et blanc : Reflections, 6 janvier 2014, 09:21, par Christine
Vos dessins sont vraiment frappants ! Je serais même tentée de dire que s’ils contenaient de la couleur, ils seraient peut être moins graphiques. Bravo !
Christine
58. Facteur de Croissance, 6 janvier 2014, 10:14, par Alanis
je ne connais pas vraiment les dynamiques politico-économiques en relation avec les guerres mais je trouve vos dessins vraiment expressifs. Merci pour ce partage et cette sensibilisation sur ce sujet complexe.
59. Folle déliée, 26 mai 2014, 17:34, par Emily
Bonjour David, j’adore tes poèmes ! J’ai choisi celui-ci pour un projet et je voulais savoir si tu pourrais répondre à deux petites questions :
1. Où pourrais-je trouver ta biographie ?
2. Pourrais-tu me parler un peu de ton poème ’’Folle déliée’’ ; les thèmes présents et la signification des vers ?
Ce serait tellement apprécié !
( emilygoudreau@hotmail.fr )
60. A la moindre occasion, 15 septembre 2014, 21:36, par abder
salut
vraiment je suis très intéressé de recevoir des commentaire sur le texte de : La cathédrale de béton s’avance vers nous, les voyageurs se lèvent tous d’un bond et se massent vers le sas de sortie.
61. Tout comme il faut, 26 octobre 2014, 10:41
je ne comprend pas , pourriez-vous faire plus pour les enfants
Merci
PS : c’est tres bien
62. BD en 6 cases, 3 décembre 2014, 02:37, par LOUIS
Bonjour
Je souhaite aider mon enfant dans son devoir d’art plastique.
Pouvez vous m’aidez à comprendre l’ensemble des vignettes de 1 à 12 c’est très urgent merci d’avance de votre réponse.
Mme LOUIS
63. Croissance Infinie, 6 janvier 2015, 14:06, par Gilles Labruyère
J’aime !...
64. Mange ta viande, 14 janvier 2015, 18:52
Ce texte est juste sublime, je l’ai lu pour la première fois il y a deux ans, et je pense que c’est lui qui a été l’élement déclencheur de mon "végétariennalisme"...Alors merci, à toi qui a écris ce texte, pour ces paroles sages.
65. Mange ta viande, 14 janvier 2015, 20:46, par David Myriam
Merci beaucoup pour ce mot. Ca me fait très plaisir de savoir qu’un simple texte poétique peut aider à une prise de conscience et un changement de pratique.
Bonne continuation
66. La grand-mère, 9 février 2015, 22:14, par nicole
une bonne histoire
67. Tremblement, 7 mars 2015, 21:29, par lou
« Cool »je suis terrifier
68. Chair fraîche, 4 mai 2015, 22:10, par rose
Ce poème illustre bien le côté terrifiant de ces mises à mort. merci à l’auteur
69. Mange ta viande, 11 mai 2015, 01:50, par cassandra
je voulais savoir quel était l’auteur de ce poème et s’il était publié par une maison d’édition
70. Mange ta viande, auteur, 11 mai 2015, 09:36, par David Myriam
Il est de moi : David Myriam
Non, il n’a pas été édité
71. Tremblement, 28 juillet 2015, 12:29, par boivin
bof c’est interessent mais je trouve qui manque un petite truc pour faire flippe comme par exame mettre plus de action, je trouve que le mot bain de sang est trop utilise j’orai plus mis marre de sang .... mais j’aime beaucoup le poeme on n’a vraiment l’inpresion d’etre sur les lieux :)
72. Chair fraîche, 25 octobre 2015, 17:01
ouaich c pas mal
73. Un clip du groupe Chamots incluant ce poème, 30 novembre 2015, 15:22, par David Myriam
Une groupe punk du nord a composé une chanson militante intégrant des paroles de ce poème : "Ta gueule"
Energique !
74. La voisine, 23 janvier 2016, 14:55, par GERARD
PETITE NOUVELLE ÉROTIQUE FRUSTRÉE ?
75. Regard croisé, 3 mars 2016, 09:06, par lala
je voudrai si c est possible avoir l analyse de la nouvelle regard croise de david myriam le plus vite possible.merci.
76. Dieu est parmi nous, 21 avril 2016, 15:03, par georges casgha
j’aime beaucoup votre vision des choses, il faut dire qu’elles ressemblent aux miennes. Je vous félicite pour cet écrit qui sort vraiment de l’ordinaire alors que dans les faits, cela se reproduit tous les jours.
77. Impossible de fuir, 12 juin 2016, 03:12, par pinpin
Magnifique poeme, quelle rage, quelle fougue mais quelle justesse !!!
Je me suis permis de partager ce poème sur ’les moutons enragés’ (http://lesmoutonsenrages.fr/2016/06...) en mentionnant bien sur votre site en source du poème.
si cela vous posait le moindre problème, signalez le moi et je retirerai le commentaire de suite.
Merci aux hasards du net qui m’ont amenés ici, vous ête formidable....
78. Merci d’avoir partagé, 12 juin 2016, 20:40, par David Myriam
pas de problème, je suis content que ce texte vous plaise.
79. La fin du monde a lieu tous les jours , 21 septembre 2016, 22:14, par chaouki
je vous remercie infiniment
80. Victimes et bourreaux, 24 octobre 2016, 17:14, par Laury
Bonjour,
Je suis une élève de première S et nous avons une anthologie à faire et dans ce cadre, je souhaiterais utiliser ce poème mais il me faut absolument le nom de l’auteur. Pourriez-vous me le donner s’il vous plaît ?
Merci d’avance !
81. Victimes et bourreaux, 24 octobre 2016, 17:22, par Laury
Ha non pardon, excusez moi, vous avez dû trouver mon commentaire stupide, étant donné que l’auteur est l’auteur du site du coup...
En tout cas, c’est un très beau poème ! :-)
1. Victimes et bourreaux, 25 octobre 2016, 10:37, par David Myriam
Merci, et bon travail
82. Spectacle Variations Lunaires à Crest, 19 janvier 2017, 17:12, par Joëlle
Bonjour David et merci pour ces magnifiques dessins qui m’impressionnent tjrs autant et que j’ai bcp de plaisir à regarder, même s’ils en sont pas tous dispos en entier sur le web.
Si un jour vous venez dans l’Aude, du coté de Carcassonne je ne manquerais pas de vous rendre visite.
Bravo et très belle année de démonstration de ce que peut-être la créativité humaine au service de la beauté, de la paix, de la bienveillance, de la nature et tutti quanti qui fait du bien là où d’autres se complaisent dans la culture du mal et du désordre.
Belle santé à vous et vos oeuvres et sur le long terme !
Joëlle
1. Spectacle Variations Lunaires à Crest, 21 janvier 2017, 15:50, par David Myriam
Merci beaucoup pour ces encouragements, qui m’aident à continuer dans les moments parfois un peu difficiles.
Au plaisir de jouer dans votre ville un jour
83. Lettre d’information, 20 janvier 2017, 12:03, par Chantal
Bonjour David,
Cette inscription à ta Lettre d’information annule et remplace celle avec mon adresse orange.
Bises
Chantal (Atelier de St Sim)
84. Souvenirs : vidéo de peinture improvisée, 20 janvier 2017, 12:39, par Chantal
Salut David,
Je suis bluffée !
La dextérité du geste, sa fluidité et celle des effets rendus... C’est vivant !
Bravo :)
1. Souvenirs : vidéo de peinture improvisée, 21 janvier 2017, 15:51, par David Myriam
Salut,
merci ! J’ai pu "appliquer" ici mon expérience avec le dessin sur sable.
à un de ces jours si tu passes dans le coin.
85. Bleus d’âme, 15 mars 2017, 14:01, par Elodie
Bonjour pourrais-je avoir le nom de l’auteur s’il vous plaît ?
1. Bleus d’âme, 15 mars 2017, 17:00, par David Myriam
L’auteur est celui de toutes les créations de ce site : David Myriam, moi-même ;-)
86. Dialogue commercial, 21 novembre 2017, 15:13, par armelle
Bonjour et merci
C’est vrai on peut s’apitoyer sur les conditions extrêmes du télévendeur(j’ai testé cet épouvantable métier) mais on se bat pour l’obtenir ce job ! ça ne suffit pas ! on s’accroche à l’hameçon CDI-bonheur et on colle avec le sourire 10 ans d’abonnement ou 10 kg de poisson sauvage surgelé à mamie qui pensait avoir des nouvelles de sa petite fille de Paris et qui finit par s’acheter la paix à grand coup de carte bleue.De toute façon quand on sera trop vieux pour faire le tapin il y aura quelques places pour envoyer les autres et quand on sera trop usé pour ce manège...on répondra au téléphone à longueur de journée ! Ah !Ah ! A moins qu’on ait ouvert la bouche et craché l’hameçon et le véritable emmerdeur en sa qualité d’actionnaire.
Armelle
87. Lettre d’information, 2 décembre 2017, 11:05, par Chantal
Salut David,
Un petit coucou en espérant que tout va bien pour toi.
Bises
Chantal
88. Le cri, 29 décembre 2017, 15:48, par cyli breton
j’avais lu ce texte il y a longtemps. Je l’avais archivé et rangeant, aujourd’hui, je l’ai relu entièrement. Du premier mot jusqu’au dernier, la même force pour hurler et pour jouir à la vie. Merci beaucoup .
89. Sortez de vos enfers, 31 janvier 2018, 01:55
Nom de l’auteur ?
90. Sortez de vos enfers, auteur, 31 janvier 2018, 10:41, par David Myriam
Eh bien, l’auteur c’est moi, David Myriam, comme pratiquement tout ce qui est sur ce site ;-)
91. Adresse aux jeunes personnes, 8 mars 2018, 13:40, par classe de Nomades du collège Saint dominique
Bonjour,
Nous aimons votre poésie. Nous avons travaillé sur votre poème "Cerveaux béants".
Votre engagement nous aide à garder notre indépendance et a œuvrer pour un monde meilleur.
92. Adresse aux jeunes personnes, 16 mars 2018, 11:39, par David Myriam
Bonjour,
et merci pour votre soutien encourageant.
93. Tout peut commencer, 5 novembre 2018, 18:33, par ETIENNE
Je viens de d é cou vrir vos écrits - j’aime assez !
Une douce puissance !
A vous lire ; bientôt
Marie
94. Lézard, 29 octobre 2020, 12:36, par igorlega
Sa parle de deux chats sont étalées dans l’herbe
pas loin de eux y a un lézard de couleur vert il est a fixe
les chats on eu peur
95. Dialogue entre survivants , 9 juin 2023, 13:52, par GUENEBEAUD hubert
Bonsoir, je viens de lire ce texte. Il me bouleverse, c’est exactement ce qui attend l’humanité. Nous avons percuté le mur
et ils s’en trouvent toujours qui veulent gagner plus. !!!
J’ai 67 ans, une vie de galères et d’épreuves, un fils de 17ans . Pourtant depuis 26 ans j’ai voulu faire décroissant, travail avec sophie Rabhi, participation écohameau, autoconstructeur, créateur de jardin communautaire. Je n’y suis pas arrivé , pourquoi ??? maintenant je loue un lieu-de-vie et j’essaye encore de faire au mieux pour la planete et la nature. "Comme le colibri". Merci pour l’auteur et bien le bonjour à tous.