Sur les hautes terres de nos mondes
nous avons mangé dans les mêmes mains,
force d’amour nous est donnée.
Sur les hautes terres nous n’avons pas osé,
nous, petit peuple osé réver le monde,
chercher les mondes inconnus,
les terres légères.
Je marche le coeur dans la lumière,
je marche nu,
je vois le mensonge de la peur.
Nous sommes seuls
L’éternelle beauté se répand maintenant,
nous sommes arrivés,
à jamais.
la poésie est timide, elle danse avec
la réalité des petits pas de terreur d’enfants.
Soulève la peur, refuse.
Vois,
nous nions la recherche du mal et du bien,
nous rejetons les désirs de bonheur et de liberté,
l’envie d’être ou d’avoir été,
je tiens cette soif d’être dans ma main,
je la jette,j e n’en ai pas besoin.
Qu’attends tu encore,
tu sais que tu est mort demain, tu le sais
Nous rejetons le connu,
nous rejetons le connu car le monde est à découvrir,
nous rejetons en vrac la poussière des idées accumulées.
Songe ta vie,
à chaque instant, renaitre,
le bric à brac des nations et des religions
nous le rejetons,
sur la terre sacrée
nul besoin de croire.
las de certitudes,
nous avons l’ardente nécessité
d’avancer seul à travers chaque
premier
matin.
ose,
demain n’existe pas plus qu’hier,
seul le présent s’étend sur toutes les terres,
le monde est en fleur et en sang
et les étoiles habitent mon coeur.
Messages
1. je marche nu à jamais, 16 août 2006, 00:05, par didier
Sur les hautes terres de nos mondes
nous avons mangé dans les mêmes mains,
force d’amour nous est donnée.
Sur les hautes terres nous n’avons pas osé,
nous, petit peuple osé réver le monde,
chercher les mondes inconnus,
les terres légères.
Je marche le coeur dans la lumière,
je marche nu,
je vois le mensonge de la peur.
Nous sommes seuls
L’éternelle beauté se répand maintenant,
nous sommes arrivés,
à jamais.
la poésie est timide, elle danse avec
la réalité des petits pas de terreur d’enfants.
Soulève la peur, refuse.
Vois,
nous nions la recherche du mal et du bien,
nous rejetons les désirs de bonheur et de liberté,
l’envie d’être ou d’avoir été,
je tiens cette soif d’être dans ma main,
je la jette,j e n’en ai pas besoin.
Qu’attends tu encore,
tu sais que tu est mort demain, tu le sais
Nous rejetons le connu,
nous rejetons le connu car le monde est à découvrir,
nous rejetons en vrac la poussière des idées accumulées.
Songe ta vie,
à chaque instant, renaitre,
le bric à brac des nations et des religions
nous le rejetons,
sur la terre sacrée
nul besoin de croire.
las de certitudes,
nous avons l’ardente nécessité
d’avancer seul à travers chaque
premier
matin.
ose,
demain n’existe pas plus qu’hier,
seul le présent s’étend sur toutes les terres,
le monde est en fleur et en sang
et les étoiles habitent mon coeur.
Voir en ligne : http://www.fleurantin.fr