Doux draps soyeux
qui glissent sur les seins
caressent nos yeux de leurs mains,
drapeaux sans pays volent au vent
Feuilles plissées ouvertes à la vie,
les branches vertes nous tendent les bras
pour valser offertes sur l’infini.
Août 2006
Màj Août 2006 |
Court poème sur la renaissance du printemps
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