Bonjour,
C’est ma première visite sur ce site,
j’y suis venue par hasard au fil d’une recherche sur le vocabulaire inhérent à "la boucherie" afin d’enrichir un commentaire sur un site de défense animale.
Tout comme vous je pense que les animaux sont traités comme des objets par les humains,peut-être même que les humains traitent mieux certains de leurs objets auquels ils sont attachés !
Pour les animaux dits "de ferme" ou "de boucherie",
nous sommes au plus haut sommet d’une "hypocrisie collective", soutenue par un conditionnement social et culturel de la nourriture carnée .
Ce conditionnement a d’autant plus perduré et été encouragé du fait de la source de profit que représente l’animal.
La plupart des humains mangent de la viande,
une grande partie se voile la face,inconsciemment conditionnée depuis des millénaires à être carnivore sans se poser de questions ...
Une autre partie émerge, celle qui se réveille, et qui a pris conscience de la cruauté infligée aux animaux d élevage traditionnel ou industriel qui sont assassinés chaque jour dans les abattoirs !!!! cette partie là veut faire cesser ce que l’on peut simplement appeler la chaîne de la cruauté, de la torture et de la mort des animaux destinés à la boucherie !
La phrase que vous avez mise en titre résume à elle toute seule "l’ANTINOMIE " et par conséquent l’incompatibilité
d’associer ces deux mots !!!!
Ceux qui réclament que l’on tue sans faire souffrir l’animal dans les abattoirs occultent la souffrance qui précéde la mort, ils veulent ignorer que c’ est un être vivant et sensible capable de ressentir la douleur,la peur et de pressentir la mort !
Quel leurre !
La mort ne peut jamais être douce quand on vous assassine !!
Vous le décrivez d’une façon,très émouvante dans vos textes
et je pense que c’est peut-être le meilleur moyen pour sensibiliser l’opinion sur la maltraitance animale !
Des écrits dans lesquels on dénonce sans le dire ,
rien que par les mots et les réactions d’un enfant
non conditionné qui lui raisonne le plus logiquement du monde et voit la cruauté et les crimes sur les animaux perpétrés par son père que les adultes ne voient plus !
Dans le texte ci-dessus vous réussissez à rendre palpable l’insoutenable cruauté, si terrifiante, si inéluctable de la mort de l’animal sur la chaîne impitoyable de l’abattoir, que l’on a l’impression d’y être !
C’est un livre complet qu’il faudrait publier ou des nouvelles , ou des poésies pour sortir les futures générations de ce conditionnement !
Bravo pour votre site et votre oeuvre !
Bonjour,
et merci pour votre message.
Je suis bien d’accord avec vous.
Créer un recueil illustré fait partie de mes projets, ...quand j’aurai un moment, et peut-être avec de nouveaux dessins à venir. C’est la diffusion ensuite qui est difficile dans notre monde.
En attendant, n’hésitez pas à faire circuler mes textes et images.
Amicalement,
David.Myriam
Messages
1. Tuer humainement, 5 février 2013, 18:35, par Mary
Bonjour,
C’est ma première visite sur ce site,
j’y suis venue par hasard au fil d’une recherche sur le vocabulaire inhérent à "la boucherie" afin d’enrichir un commentaire sur un site de défense animale.
Tout comme vous je pense que les animaux sont traités comme des objets par les humains,peut-être même que les humains traitent mieux certains de leurs objets auquels ils sont attachés !
Pour les animaux dits "de ferme" ou "de boucherie",
nous sommes au plus haut sommet d’une "hypocrisie collective", soutenue par un conditionnement social et culturel de la nourriture carnée .
Ce conditionnement a d’autant plus perduré et été encouragé du fait de la source de profit que représente l’animal.
La plupart des humains mangent de la viande,
une grande partie se voile la face,inconsciemment conditionnée depuis des millénaires à être carnivore sans se poser de questions ...
Une autre partie émerge, celle qui se réveille, et qui a pris conscience de la cruauté infligée aux animaux d élevage traditionnel ou industriel qui sont assassinés chaque jour dans les abattoirs !!!! cette partie là veut faire cesser ce que l’on peut simplement appeler la chaîne de la cruauté, de la torture et de la mort des animaux destinés à la boucherie !
La phrase que vous avez mise en titre résume à elle toute seule "l’ANTINOMIE " et par conséquent l’incompatibilité
d’associer ces deux mots !!!!
Ceux qui réclament que l’on tue sans faire souffrir l’animal dans les abattoirs occultent la souffrance qui précéde la mort, ils veulent ignorer que c’ est un être vivant et sensible capable de ressentir la douleur,la peur et de pressentir la mort !
Quel leurre !
La mort ne peut jamais être douce quand on vous assassine !!
Vous le décrivez d’une façon,très émouvante dans vos textes
et je pense que c’est peut-être le meilleur moyen pour sensibiliser l’opinion sur la maltraitance animale !
Des écrits dans lesquels on dénonce sans le dire ,
rien que par les mots et les réactions d’un enfant
non conditionné qui lui raisonne le plus logiquement du monde et voit la cruauté et les crimes sur les animaux perpétrés par son père que les adultes ne voient plus !
Dans le texte ci-dessus vous réussissez à rendre palpable l’insoutenable cruauté, si terrifiante, si inéluctable de la mort de l’animal sur la chaîne impitoyable de l’abattoir, que l’on a l’impression d’y être !
C’est un livre complet qu’il faudrait publier ou des nouvelles , ou des poésies pour sortir les futures générations de ce conditionnement !
Bravo pour votre site et votre oeuvre !
2. Tuer humainement, 6 février 2013, 15:14, par David Myriam
Bonjour,
et merci pour votre message.
Je suis bien d’accord avec vous.
Créer un recueil illustré fait partie de mes projets, ...quand j’aurai un moment, et peut-être avec de nouveaux dessins à venir. C’est la diffusion ensuite qui est difficile dans notre monde.
En attendant, n’hésitez pas à faire circuler mes textes et images.
Amicalement,
David.Myriam